A quand la revolte des sans terre ?

Les listes d’attente interminables pour obtenir un logement social à prix abordable n’auraient-elles pas pour objectif de maintenir les loyers du privé à un niveau intéressant pour les investisseurs ( loyers artificiellement gonflés par les aides au logement qui vont directement dans les coffres des banques ou dans la poche des propriétaires ) ?

De même, la création au compte-gouttes de jardins ouvriers ( ou partagés ) en zones urbaines ou péri-urbaines ne sert elle pas d’autres intérêts?

La misère ne serait elle pas entrain de devenir plus qu’un marché de niche?

Chacun n’est-il pas en droit de revendiquer un espace vital, un toit, un endroit où espérer, un jardin où retrouver des racines, un lien vital avec la terre?